Kulturagentinnen und Kulturagenten Schweiz

Ces “projets assez fous”, cités par Thierry Gyger, le directeur du syndicat CoViCou lors de l'interview avec RJB (à écouter ici), sont un produit rendu possible par une belle synergie entre les possibilités financières, l'ouverture d'esprit de l'école, l’investissement des enseignant.es, l’organisation de l'agente culturelle et du coordinateur culturelle et le soutien fidèle d'entreprises locales. Sans l'aide de Jacques Lachat par exemple, qui a suivi le projet depuis le début en tant que paysagiste, la construction et la plantation n'auraient probablement jamais avancé aussi efficacement. Ce grand projet qui a vu le jour aussi grâce au soutien financier du canton de Berne et de la commune de Courtelary laisse désormais une trace. La construction de l'amphithéâtre en bois, les dalles en mosaïque, ainsi que la plantation d'arbustes et d'arbres, resteront à l'école de Courtelary.

Comme une partie des habitants et entreprises autour des trois écoles de Courtelary, Cormoret et Villeret ont également soutenus l’aménagement par un parrainage, il était important de tenir les gens au courant. Le journal local "le Journal de Jura", qui était fortement représenté par le journaliste Sebastien Goetschmann, a publié régulierement des articles sur le projet pendant les deux années de création.

Les élèves du secondaire ont également été impliqués dans la communication du projet et ont eu un premier contact avec les journalistes de la région en écrivant aux journaux et aux radios pour demander des articles sur le processus (à écouter ici). Ils sont également devenus eux-mêmes reporters en créant leur propre page sur le site web de Covicou ou en utilisant Facebook et Instagram pour tenir la communauté et les personnes intéressées informées.