Kulturagentinnen und Kulturagenten Schweiz

Un voyage dans le passé du centre scolaire de Lens à travers les souvenirs et les anecdotes

Cette année, le centre scolaire de Lens fête ses 40 ans ! A cette occasion, l’école, accompagnée par une journaliste et un illustrateur, met sur un pied un journal qui retrace l’histoire du centre.

Les élèves de 5-6H de la classe de Thierry Emery ont effectué des recherches, des interviews et la rédaction d’un article en compagnie de la journaliste Flore Dussey. Maria Bagnoud, enseignante à la retraite qui a travaillé 38 ans aux écoles des Villages et en particulier à Lens, et Roland Briguet, concierge du centre scolaire de Lens de 1984 à 2021, ont livré leurs expériences lors d’interviews riches en émotions et en anecdotes.

Florilèges des réactions des enfants à la suite des entretiens :
  Luann : Moi, personnellement, j’ai beaucoup aimé quand Flore Dussey est venue, parce qu’elle a pris le temps de nous expliquer tout ce qu’il fallait faire pour poser les questions au concierge et à l’ancienne maîtresse. Et quand c’était mon tour de leur faire les questions, j’étais quand même un peu stressée parce que je ne savais pas trop quoi dire. Je ne savais pas à qui je devais m’adresser, mais quand j’ai vu que c’était le concierge, je me suis calmée et je savais ce que j’allais dire. 

Noémie : Je trouve que c’était très émouvant et surtout rigolo. Ce qui m’a fait le plus rigoler, c’est quand un élève a mis un crapaud dans la boîte aux lettres du concierge. J’ai beaucoup aimé parler au micro. Ce que j’ai demandé, c’est s’il y avait eu un grand incendie dans cette école. J’ai beaucoup aimé le passage de Flore Dussey. 

Valère : J’ai trouvé que l’interview s’est très bien passé. J’ai ressenti de la joie et j’étais très ému aussi. J’ai adoré ce moment de retour en arrière. Je me suis senti bien. Maria a eu mon papa et ma tante à l’école. Le concierge était vraiment très cool tout comme la maîtresse Maria. J’ai aussi bien aimé quand Madame Flore Dussey était là. Elle nous a appris plein de choses comme comment bien poser les questions, dire « vraiment » quand la personne répond… 

Armand : J’ai bien aimé quand Maria a raconté l’histoire avec la chanson. J’étais stressé quand j’ai interrogé Roland. En plus, j’étais le premier à l’interroger. 

Luan : J’ai trouvé que de fumer dans l’école à l’époque, c’est pas bon. J’ai trouvé la musique que Maria a chantée très drôle. 

Liam : J’ai aimé cette interview avec Maria, Roland et Flore Dussey. 

Flandri : J’ai bien aimé travailler avec Flore Dussey et ai été surpris que des personnes dorment dans l’école à l’époque. 

Naïa : Mon moment préféré est quand le concierge a raconté que des enfants avaient mis un crapaud dans la boîte aux lettres. 

Rose : Mon moment préféré, c’était quand le concierge a dit qu’il y a des enfants qui ont mis un crapaud dans la boîte aux lettres. C’était aussi quand je suis passé et que j’ai pu parler dans le micro. Ça m’a étonné quand ils ont dit que les profs fumaient dans l’école. 

Naila : Il y avait 2 personnes à interroger : Roland Briguet et Maria Bagnoud. Flore Dussey nous a expliqué le travail de journaliste. 

Melody : J’ai vu une journaliste. Elle est venue dans ma classe. On a interrogé l’ancien concierge et une ancienne maîtresse. Ma question était : Est-ce que les enfants étaient gentils ? 

Line : Ça s’est plutôt bien passé et Flore Dussey était trop sympa. C’était cool d’interviewer Maria. 

Lenny : J’ai trouvé rigolo quand le concierge a dit qu’il avait trouvé un crapaud dans la boîte aux lettres et que ça lui avait fait peur. 

Mia : Moi j’ai bien aimé quand Maria a dit que mon papa et mon tonton avaient été à l’école avec elle. Les maîtres et les maîtresses fumaient à l’époque. 

Laura : Il y avait une journaliste et on a interrogé 2 personnes : Roland Briguet et Maria Bagnoud. On leur a posé plein de questions comme par exemple : Qu’est-ce qu’ils ont vu de trop choquant ? Même une fois il a dit qu’il avait trouvé un crapaud dans sa boîte aux lettres. Une personne a demandé s’il a vu des accidents et il a répondu non, à part quelqu’un qui a glissé et s’est cassé quelque chose. 

Léane : J’ai été stressée quand j’ai interrogé Madame Maria. C’était drôle quand elle a dit l’histoire avec le curé. 

Gratien : J’ai trouvé rigolo que les enseignants pouvaient fumer dans les couloirs.